Ταξίδια/Διατροφή & Οίνος

Que vous soyez plaisancier grand débutant, jeune titulaire du permis ou encore navigateur très occasionnel, ce petit guide pratique est là pour accompagner vos sorties en mer en bateau à moteur. Synthétique et très illustré, il récapitule les incontournables basiques d'une navigation sereine et bien préparée. Règlementation, sécurité, météo ou encore gestion des imprévus sont abordés de manière simple et concrète, pour que rien ne vienne gâcher le plaisir d'une belle journée en mer, en famille ou entre amis !

" C'est le Paradis terrestre! " A cette exclamation, Blaise Cendrars répond en 1952 par ce livre, longtemps introuvable. Des immeubles cariocas au labyrinthe amazonien, en passant par le destin monotone des gauchos et les paysages désolés du Nordeste, il nous donne à voir un pays tourné vers l'avenir, pétri de contradictions. Car l'homme est partout un loup pour l'homme. Ce texte, d'une actualité saisissante, est illustré de quarante photographies de Jean Manzon issues de l'édition originale.

Chef-d'oeuvre de l'architecture et de l'art des jardins, siège du pouvoir depuis Louis XIV jusqu'à la Révolution, scène artistique et culturelle, le château de Versailles, dès le XVIIe siècle, va rayonner à travers toute l'Europe.

Des saveurs et des mots... De A comme Araser à Z comme Zeste, Guy Martin, chef étoilé au restaurant. Le Grand Véfour, s'invite dans votre cuisine. Tout son savoir et son art dans ce dictionnaire... À lire À apprendre À cuisiner À déguster Des mots à dévorer !

Cordoue, Istanbul, Salonique, Delphes, Mallia, Mantoue, Ferrare et l'Égypte. Voici les héroïnes de ce roman des lieux, par le dernier grand représentant de l'école du Nouveau Roman. Loin des fades commentaires sur les paysages, c'est en promeneur enchanté, inspiré par ses souvenirs, que Butor digresse sur l'histoire et la littérature des civilisations de la méditerranée. Des empereurs y ont construit des palais. Des sculpteurs y ont élevé des statues. Avant que des conquérants ne les détruisent. Avant que des écrivains ne le racontent. Les voici réunis dans un livre. Le Génie du lieu ne serait-il pas le lieu du génie de Michel Butor ?

La Toscane évoque d'emblée un paysage à la fois serein et prospère : toute la beauté d'une vie harmonieuse entre l'homme et la nature. C'est l'impression que retiennent des écrivains comme Hippolyte Taine, Jules Janin ou encore Sismondi traversant ces campagnes. La Toscane, ce sont aussi des villes exceptionnelles par leur patrimoine artistique : Florence, bien sûr, mais aussi Sienne, Lucques, Pise ou encore Volterra, San Gimignano, etc. Villes d'art et de caractères qui ne laissent jamais indifférents mais dont les réputations ont aussi évolué, au fil des siècles. Autant de visites très personnelles mais aussi de méditation sur l'art, la vie et la mort auxquelles nous convient Stendhal, Berlioz, Maupassant ou encore les frères Goncourt, Michelet, Barrés et Camus. On ne saurait oublier les habitants, ces « sacrés Toscans » comme le dit Malaparte, dont Larbaud et Alfieri louent la pureté du langage et Paul Bourget le sens de l'hospitalité.

La société du XVIIIe siècle en mouvement semble impatiente d'enterrer l'héritage des siècles sauvages qui l'ont précédée et d'élaborer un mode de vie plus aérien, plus civilisé. Le goût réformé met alors en avant la cuisine légère qui s'adresse à une société gourmande mais non goulue. Historien, l'auteur est professeur à l'université de Bologne.

Des extraits du texte sont accompagnés d'une introduction sur l'oeuvre et de questions permettant à l'élève d'analyser sa lecture. Un groupement thématique de textes suivis de questions permet d'approfondir la réflexion sur les récits de voyage à travers l'Asie.

Revenir n'est pas un verbe. C'est un état. Un pays. Revenir ne se conjugue pas. Lundi reste lendemain de dimanche. Le jour est choisi, revient de semaine en semaine, se dissout dans l'écriture. Les lundis s'arrachent comme des peaux, se taisent, dorment, se perdent, partent comme du savon. À croire que le temps s'effiloche lui-même, qu'il n'a pas d'existence. Pourtant maître de tout. Alors, dans ce temps qui fuit, d'une femme en voyage, sourdent quelques mots, quelques photographies, de petites évanescences retenues du bout d'elle-même.

« Monument de Janus, au double visage, l'un tourné vers le passé, l'autre vers l'avenir, il change de nom, suivant la différence des temps ! Regardez ! Église ou temple, Sainte-Geneviève ou Panthéon, il pourrait à lui seul dire si la Révolution est vaincue ou victorieuse. » Edgar Quinet interroge l'histoire du monument édifié au XVIIIe siècle par Soufflot, et la symbolique religieuse et politique qui l'entoure. L'église Sainte-Geneviève, devenue en 1791 le « Panthéon des grands hommes », va en effet changer plusieurs fois de destination au gré des révolutions politiques du XIXe siècle.