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Platon

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Amitié et Amour - Lysis suivi de Vie de Platon de Diogène Laërce

L'amour et l'amitié, par leur complexité, ont toujours défié la réflexion des penseurs et éveillé leur curiosité, autant que la nôtre. C'est à leur rapport et à leurs différences essentielles que Platon s'intéresse dans le Lysis en les présentant d'une façon inattendue. Restituant son langage parlé plein d'humour et de vivacité, cette nouvelle traduction, fidèle à la spontanéité calculée de ce dialogue surprenant, propose un autre regard sur l'écriture et la pensée platoniciennes, invitant à suivre le maître de l'Académie dans ce vrai chant d'amour à la philosophie pratiquée entre amis.
En outre, la lumière que jette ici Diogène Laërce sur la vie et l'oeuvre du grand philosophe permet de mieux apprécier toute la portée de sa pensée.
9.20 €

Apologie de Socrate

Athènes, 399 avant notre ère. Socrate, citoyen sans fortune ni pouvoir politique, comparaît devant le Tribunal de la cité. Quels sont les faits reprochés ? On l'accuse de ne pas reconnaître l'existence des dieux traditionnels, d'introduire de nouvelles divinités et de corrompre la jeunesse. Face à ses juges, Socrate assure seul sa défense et met en garde les Athéniens : le philosophe est un bienfait pour la cité et celle-ci se condamne elle-même en mettant à mort son héros. Mais le verdict est sans appel : la condamnation à mort. Élevée au rang de mythe fondateur de la philosophie, l'Apologie de Socrate expose les exigences d'une vie vertueuse telle que la défend Socrate : amour du savoir, souci du vrai, recherche de l'acte et du mot justes.
4.50 €

Apologie de Socrate - Suivi de Criton et Euthyphron

Accusé d'impiété et de corrompre les jeunes gens, Socrate est condamné à mort en 399 avant notre ère. Lors de son procès, qui mobilise toute la cité d'Athènes, il choisit de se défendre avec l'arme qu'il manie le mieux  :  le langage. Chérissant la justice au point de ne vouloir s'y soustraire, il refuse de prendre la fuite comme l'en prie Criton et s'empoisonne à la ciguë. Dans le Criton, Socrate interroge et redéfinit la notion de devoir, et dans l'Euthyphron, celle de piété.
Ces deux textes sont considérés comme des appendices à l'Apologie de Socrate, permettant de comprendre sa condamnation à mort par la république athénienne.
2.30 €

Apologie de Socrate, Criton

En 399 avant notre ère, à Athènes, Socrate comparaît devant le Tribunal de la cité. Accusé de ne pas reconnaître l'existence des dieux traditionnels, de créer de nouvelles divinités et de corrompre la jeunesse, il est condamné à mort. De son procès, il nous reste peu de témoignages, mais celui que Platon nous livre dans l'Apologie de Socrate élève au rang de mythe fondateur de la philosophie un fait qui aurait pu demeurer banal au regard de l'histoire. Face à ses juges, Socrate mène sa défense en invoquant la pratique de la philosophie, qui seule fait que la vie vaut d'être vécue. Plus tard, dans la prison où il attend son exécution, Socrate oppose à son ami Criton, qui lui propose de fuir, le verdict du philosophe : mieux vaut affronter la mort que contrevenir aux lois de la cité et ainsi commettre l'injustice. Si l'on en croit Platon, il fallait que Socrate meure pour que vive la philosophie.
5.80 €

Gorgias

Le ton du Gorgias est particulièrement violent, et pas seulement à l'égard de la rhétorique. Le dialogue formule une des critiques les plus radicales qui aient été adressées à la démocratie athénienne, à ses valeurs dominantes et à sa politique de prestige. En effet, Socrate s'en prend à tous les aspects de cette politique, du plus concret au plus idéologique. Mais l'essentiel de la critique vise la condition qui donne à la démocratie athénienne ses principaux caractères. Or cette condition est la même que celle qui assurait l'influence de la rhétorique. Il s'agit de la foule comme sujet dominant de la scène politique. Le gouvernement de la liberté est un gouvernement de la foule, c'est-à-dire de l'illusion, du faux-semblant et de la séduction. La critique de la rhétorique débouche donc directement sur la critique de la démocratie.
6.20 €

La République

«Si j'ai désiré, après tant d'autres, traduire en français La République, c'est d'abord pour avoir pensé qu'il était possible de faire mieux que ce qui avait été fait avant moi : de se tenir plus près du texte grec, de l'articulation de ses phrases, de son économie dans le choix des mots, de sa souplesse, de la variété des tons qu'il prête aux participants du dialogue que rapporte Socrate ; mais c'est aussi, et peut-être surtout, par désir de m'approcher le plus possible de ce texte, l'un des plus beaux du patrimoine littéraire, en me soumettant à la nécessité de le lire et relire, puis d'écrire des mots, des expressions, des phrases dignes de le représenter, de se substituer à lui. J'ai voulu faire lire ce dialogue, en considérant qu'il s'adressait au public le plus large, qu'il n'était pas d'abord une œuvre de philosophie, puisque justement la philosophie, dans ce texte, doit faire valoir son utilité, se distinguer de ses contrefaçons ou de ses formes dégradées, chercher sa définition, mais que c'était un livre par lequel un esprit exceptionnel a cherché à capter l'attention, à stimuler l'imagination, à faire penser. Faire penser qui ? Un lecteur indéterminé, et non un philosophe professionnel.»
16.90 €

L'Apologie de Socrate, suvi du Criton et de l'Euthyphron

Accusé d'impiété et de corrompre les jeunes gens, Socrate est condamné à mort en 399 avant 1.-C. Lors de son procès, qui mobilise toute la cité d'Athènes, il choisit de se défendre avec l'arme qu'il manie le mieux: le langage. Chérissant la justice au point de ne vouloir s'y soustraire, Socrate refuse de prendre la fuite comme l'en prie Criton, et s'empoisonne à la cigüe. Dans l'Euthyphron, Socrate interroge et redéfinit la notion de piété, et dans le Criton. celle de devoir. Ces deux textes sont considérés comme des appendices à l'Apologie de Socrate pour comprendre sa condamnation à mort par la république athénienne.
2.00 €

Le banquet

Ce dialogue donne l'occasion aux différents protagonistes du banquet de prononcer un discours en l'honneur de l'amour. C'est également l'opportunité pour Platon d'aborder les aspects essentiels de sa philosophie (les trois genres de l'humanité, le mythe de la naissance de l'amour, les degrés de l'initiation à la beauté) et de rendre hommage à son maître, Socrate.
2.00 €

Le banquet

Il me semble que quelqu'un qui lit le Banquet pour la première fois, s'il n'est pas obnubilé par le fait que c'est un texte d'une tradition respectée, ne peut pas manquer d'éprouver le sentiment qu'expriment à peu près ces mots - être soufflé. Je dirais plus - s'il a un peu d'imagination historique, il doit se demander comment une pareille chose a pu être conservée à travers ce que j'appellerai volontiers les générations de moines et de grimauds, tous gens dont il ne me semble pas qu'ils étaient par destination faits pour nous transmettre un texte dont il ne peut manquer de nous frapper que par une de ses parties au moins, par sa fin, il se rattache plutôt, pourquoi ne pas le dire, à ce que l'on appelle de nos jours une littérature spéciale, celle qui peut tomber sous le coup des perquisitions de la police. Jacques Lacan. Le Banquet est l'un des textes les plus célèbres de Platon, dont l'influence s'exercera durablement sur la réflexion occidentale. Rédigé aux alentours de 380 av. J.-C., il met en scène plusieurs interlocuteurs. Sujet du débat : l'amour. Thèses et conceptions s'affrontent, jusqu'à finalement délimiter l'espace même à partir duquel la chose amoureuse sera désormais pensée. Une fois de plus, Platon se révèle aux sources de nos manières de voir et de concevoir le monde. Lire Le Banquet pour s'initier à ce qu'aimer veut dire.
3.00 €

Le souci du bien

Sous le titre Le Souci du bien, sont réunis ici deux des plus fameux dialogues « socratiques » de Platon : Lysis et Charmide. Ces deux dialogues ne sont pas de simples traités « sur l’amitié » ou « sur la sagesse » (sous-titres respectifs des deux dialogues, que nous ont légués les exégètes antiques). Il s’agit de véritables débats philosophiques, enracinés dans un contexte historique, social, et symbolique. Plutôt que l’amitié à proprement parler (le terme de philia apparaît remarquablement peu dans le Lysis), l’auteur s’attaque aux notions que recouvrent les termes grecs de philos (ami) et philein (aimer). Platon, on le verra, subordonne d’ailleurs ces notions à l’amour du bien.
6.90 €